Quand on n'a pas d'arguments…
…on fait passer toute critique pour du racisme. C'est pratique, ça permet d'éviter de répondre sur le fond.
Deux exemples :
Karoutchi qui défend Sarkozy :
Rama Yade, en campagne électorale :
Le but ? Remplacer la réflexion, le débat d'idée, par les réflexes de l'émotion. Que les gens ne votent pas pour un candidat parce qu'il est meilleur qu'un autre, mais parce que ses adversaires sont de méchants racistes.
Ridicule. C'était d'ailleurs tout aussi énervant quand Ségolène Royal et ses fidèles tentaient de faire passer ses adversaires pour d'affreux machistes…
Deux exemples :
Karoutchi qui défend Sarkozy :
Devant une assistance imperturbable, le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement n’a pas hésité à assimiler les "attaques" contre Nicolas Sarkozy à celles subies par Jean Zay "mi juif, mi protestant" cible de la presse d'extrême-droite sous le gouvernement de Vichy. "Cela a contribué au fait qu'il soit assassiné", a-t-il même tenu à préciser
Rama Yade, en campagne électorale :
Cette gauche qui dit défendre les modestes, les minorités et les immigrés, c'est cette gauche qui s'en prend à moi, qui ne suis que numéro 3 de la liste, je le rappelle, qui s'en prend à moi parce que je suis noire
Le but ? Remplacer la réflexion, le débat d'idée, par les réflexes de l'émotion. Que les gens ne votent pas pour un candidat parce qu'il est meilleur qu'un autre, mais parce que ses adversaires sont de méchants racistes.
Ridicule. C'était d'ailleurs tout aussi énervant quand Ségolène Royal et ses fidèles tentaient de faire passer ses adversaires pour d'affreux machistes…
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